Hirsch-Glesener – Un bijou d’histoire et de savoir-faire
Il y a des maisons qui traversent les générations sans perdre leur âme. La bijouterie Hirsch-Glesener, fondée en 1911 par Jean-Pierre Glesener, en est une. Plus d’un siècle plus tard, ce sont Claudine et Nicolas Kremer-Hirsch qui veillent sur cette adresse emblématique, nichée dans la rue de l’Alzette, avec la même exigence qu’à ses débuts.
« Je n’ai rien construit moi-même, confie Nicolas Kremer-Hirsch avec modestie. Nous sommes simplement la quatrième génération à reprendre le flambeau. » Un flambeau transmis avec soin et fidélité, qui éclaire encore aujourd’hui un espace chaleureux et intemporel, à mille lieues des modes éphémères.
Une maison de tradition, pas de tendance
Chez Hirsch-Glesener, la philosophie est simple : proposer des pièces de qualité, choisir les matières avec rigueur, offrir un service irréprochable et conseiller au mieux chaque client, quel que soit son budget. « Ce qui est trop à la mode aujourd’hui est souvent oublié demain. Nous, on préfère ce qui reste. Le classique. Ce qui traverse le temps. »
Cette volonté de rester fidèle à une certaine idée du bijou – durable, élégant, précieux – se traduit dans les choix de la maison. Ici, on travaille uniquement avec de l’or, des pierres de qualité, des diamants soigneusement sélectionnés. Les montres viennent exclusivement d’horlogeries suisses, pour leur fiabilité et leur réparabilité à long terme.
Des bijoux pour accompagner une vie entière
L’histoire familiale de la bijouterie se reflète dans celle de sa clientèle : « On voit des familles entières passer, des générations entières. Le grand-père venait déjà ici, maintenant c’est le petit-fils. » Car chez Hirsch-Glesener, on n’achète pas juste un bijou, on célèbre une étape de vie : fiançailles, mariage, naissance, anniversaire ou souvenir précieux.
Ici, tout est possible. Si la pièce parfaite n’est pas en boutique, elle sera trouvée, ou même créée sur mesure. « Deux fois par mois, mon diamantaire descend d’Anvers, et on sélectionne ensemble des pierres ou des modèles spécifiques selon la demande. » Que ce soit pour moderniser un bijou ancien ou imaginer une pièce unique, la maison prend le temps, écoute, conseille, transforme.
Un investissement qui a du sens
Au-delà de la valeur sentimentale, les bijoux achetés ici sont aussi un investissement durable. « Le diamant, par exemple, prend naturellement 5 % par an. Et le prix de l’or, rien que cette année, a bondi de 140 %. » Dans un monde incertain, le bijou reste une valeur refuge, un geste chargé de sens.
Esch, une ville de caractère
nstallé à Esch depuis 1992, Nicolas Kremer-Hirsch connaît bien la ville, ses forces et ses faiblesses. « Ce que j’aime ici, c’est la simplicité. Les gens sont vrais, directs, francs. On peut parler avec tout le monde. Je suis venu ici pour transmettre, pour partager un savoir-faire. Et au final, je me sens bien ici. Esch a ce côté humain, où chacun peut encore faire sa place. »